6/10 – EPR : anatomie de la performance - Sfen

6/10 – EPR : anatomie de la performance

Publié le 8 novembre 2018 - Mis à jour le 28 septembre 2021
  • Combustible nucléaire
  • EPR
  • Framatome
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L’EPR permet un gain de l’ordre de 20 % sur la consommation d’uranium naturel par kWh électrique produit. Ce gain est dû aux caractéristiques spécifiques de conception de l’EPR, aux performances élevées en matière de  gestion du combustible, et enfin à l’amélioration du rendement thermodynamique de l’installation. Retour sur les atouts techniques de l’EPR.

Plus performant, moins de déchets

L’amélioration du rendement global1 de l’installation et notamment du cycle secondaire (meilleure efficacité de la turbine, pression secondaire élevée) permet de diminuer la consommation d’uranium naturel pour une même énergie électrique produite. Le gain sur la consommation d’uranium naturel est de l’ordre de 5 %. 

À cela s’ajoutent les performances des gestions de combustible et les caractéristiques spécifiques de conception de l’EPR, qui y participent à hauteur de 15 % environ. Au total, l’EPR permet un gain de l’ordre de 20 % sur la consommation d’uranium naturel par kWh électrique produit, par rapport aux gestions mises en oeuvre actuellement sur les tranches 1 300 MW du parc.

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Par la rédaction

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